English below. De plus en plus de personnes n'acceptent pas de tuer des animaux et n'acceptent pas qu'une autre personne tue un animal. Les végans, les antispécistes considèrent que la vie d'un animal vaut autant que celle d'un être humain et ne mangent pas de chair animale, pas plus qu'ils n'utilisent de cuir, de laine ou quoi que ce soit d'origine animale.
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De plus en plus de personnes, aujourd'hui, n'acceptent pas le fait de tuer, je parle de tuer un animal. Pour ce qui est de tuer un être humain, c'est une autre histoire qui sera traitée plus loin.
Donc, de plus en plus de personnes n'acceptent pas de tuer des animaux ni qu'une autre personne tue un animal. Les végans, les antispécistes considèrent que la vie d'un animal vaut autant que celle d'un être humain et ne mangent pas de chair animale, pas plus qu'ils n'utilisent de cuir, de laine ou quoi que ce soit d'origine animale.
Comportements
de sectes néfastes
C'est leur sensibilité et ça les regarde. Ce qui est problématique, c'est que ces personnes veulent obliger les autres à penser et à faire comme elles. Elles agissent comme agissent les sectes prosélytes qui veulent imposer leurs points de vue ou comme les musulmans intégristes, les politiciens wokes de la bien-pensance : ils vouent aux gémonies* ceux qui ne pensent pas comme eux.
* Escalier au flanc du Capitole sur lequel les Romains exposaient les cadavres des suppliciés avant de les traîner jusqu’au Tibre.
Dorénavant, il est interdit de penser ce que l'on veut penser et, plus encore, de l'exprimer : la censure règne à la télévision, la radio, la presse et les réseaux sociaux. Si vous n'acceptez pas le discours dominant, vous êtes fasciste et ne méritez pas d'être considéré. Vous valez moins qu'un animal.
Tuer un animal
Pourtant, tuer un animal est une chose naturelle et bonne pour l'animal que l'on tue et dont on se nourrit, dont on utilise la fourrure et le cuir. Comment puis-je dire ça ? Suis-je une personne vivant la spiritualité ou un immonde tueur sans cœur ?
Je sais ce que les anti-spécistes, qui sont souvent des haineux, et les âmes sensibles qui aiment les biches, diront de moi et je ne peux rien faire pour changer ça et ça ne me touche pas plus que ça : leur avis m'indiffère. Je n'ai pas besoin d'eux pour savoir ce qui est bien et ce qui est mal.
Pour comprendre ce que je viens de vous dire, il faut connaître la pensée orientale, ce qu'est le samsara. Selon la spiritualité ancienne, originaire des indes, l'âme est entrainée dans un cycle infini de naissances et de morts.
Ce cycle cesse quand l'âme a réalisé le dharma véritable, qu'enseignait le buddha Gautama, des Sakyas* et d'autres avant et après lui, comme Lao-Tseu, Patanjali, Krishna, Guru Nanak, etc.
* Sakyas : famille d'Aryas du nord des Indes, dont sri Gautama, un éveillé (buddha) était un prince.
Le cycle des incarnations
Le cycle d'une âme commence par l'incarnation dans une forme de vie rudimentaire, comme un organisme unicellulaire.
Cette âme passe d'incarnations en incarnations de plus en plus évoluées, de mousse, à plante, de buisson à arbre, d'arbre en insecte, d'insecte en amphibien, d'amphibien en oiseau, d'oiseau en petits mammifères, puis en mammifères supérieurs, en hominidés, pour finir par l'être-humain.
Une fois que l'âme s'est incarnée en être humain, quand elle meurt, elle se réincarne encore en être humain, de vie en vie, améliorant sa conscience jusqu'à atteindre la Réalisation.
À la mort de cet individu réalisé, c'est alors la Libération. Son âme se fond, en toute conscience, dans la béatitude de l'Unité, que Lao-Tseu nommait le « Tao » et Jésus le « Royaume ». D'autres disent : « satçitananda » ou parfaite conscience de la béatitude.
L'incarnation va toujours du plus primitif au plus élaboré et ne revient jamais en arrière, comme un « effet cliquet ». Autrement dit, un humain ne peut pas se réincarner en oiseau ou en chat. Il peut seulement se réincarner en humain, de plus en plus évolué spirituellement.
On reconnaît les âmes nouvellement incarnées en humains : ces personnes sont très instinctives, très sensuelles et ne s'intéressent pas à la spiritualité, mais seulement à vivre et à profiter de leurs sens et des plaisirs.
Les âmes plus anciennes sont plus portées vers ce qui est subtil et cherchent la vérité. Il n'y a pas de jugement de valeur dans ce que je viens d'écrire : une âme est une âme, aucune ne vaut plus qu'une autre.
C'est la marche du samsara et tout le monde passe par là. Les âmes anciennes étaient, avant d'être anciennes, des âmes nouvellement incarnées en Homme et les jeunes âmes humaines deviendront des âmes anciennes.
Existence de l'âme
Quand un animal tue un autre animal, pour se nourrir ou se défendre, ou gagner les femelles, quand un être humain tue un animal, seul le corps est tué ; l'âme, éternelle, ne meurt pas et se réincarne. On ne peut pas tuer une âme. Le corps mort n'est plus qu'une simple dépouille.
En mourant, l'animal tué par un Homme, accélère considérablement l'évolution de son âme. C'est en cela que d'être tué et utilisé par un être humain est bénéfique pour l'âme de l'animal en question, poisson, lapin ou vache.
Ne pas comprendre ça, c'est nier l'existence de l'âme et cantonner l'être à sa seule apparence de chair. C'est comme se considérer uniquement sur le plan du genre, du sexe, de la couleur de peau, de l'idéologie. C'est faire l'impasse sur l'âme : une âme n'a pas de sexe, ni de genre. Ce qui procède de Dieu, ou du Tao, est simple.
Ce qui procède du mal est compliqué. Selon vous, la théorie du genre entre dans quelle catégorie ? Les tenants de la complication qualifient une explication simple de simpliste. C'est le propre de la confusion.
Droits et devoirs
Pour ce qui est de tuer une personne humaine, c'est pareil que pour un animal : un être humain a une âme immortelle et personne ne peut tuer une âme. Cela dit, ce n'est pas pour autant que l'on puisse interrompre l'existence d'une personne sans raison grave, comme pour se défendre, défendre un proche, une innocente victime ou pour assumer son devoir en cas de guerre. C'est ce qui est dit dans les angas de La Voie.
Dans un livre très spirituel ; la Bhagavad-Gîtâ, Krishna encourage Arjuna à faire la guerre contre des personnes de sa famille, des personnes qu'il aime, parce que c'est la guerre et qu'il est guerrier au service de ses chefs et de son pays. Krishna lui dit que personne ne peut tuer une âme et qu'il lui faut faire son devoir.
« Celui qui n'accomplit pas son devoir vit certainement dans l'erreur, car celui qui se complaît dans les seuls plaisirs des sens existe en vain. » (Bhagavad-Gîtâ, extrait du verset 3.17)
« On ne doit jamais renoncer à ses devoirs. L'homme qui, sous l'emprise de l'illusion, y renonce, on dit de son comportement qu'il est dicté par l'ignorance. » (Bhagavad-Gîtâ, verset 18.7)
Comme guerrier, Arjuna doit faire la guerre quand elle est déclarée, sans se poser de question, car l'âme étant immortelle, celle des ennemis, qu'il sera appelé à tuer, se réincarnera et continuera son évolution, en route vers la Libération des chaînes du samsara.
De plus en plus d'occidentaux se déspiritualisent et n'aiment plus que leurs émotions, les bons sentiments, leurs concepts, leur liberté, illusoire et leurs droits, oubliant leurs devoirs, le simple bon sens et la réalité.
La biologie est devenue ringarde pour parler du genre et de l'identité de genre. Les wokes n'acceptent pas la liberté de ceux qui ne pensent pas comme eux. Il faut qu'ils se plient à leurs concepts.
L'existentialisme a tordu la réalité pour que seule « Ce que l'on désire en faire » compte. Pourtant, la réalité reste la réalité et les discours des wokes n'y changeront rien, simplement, ils vivent en dehors de la réalité, dans un fantasme mental.
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Kill in Spirituality
More and more people today do not accept killing. Right now, I am talking about killing an animal. As for killing a human being, that is another story that will be dealt with later.
So more and more people are not willing to kill animals and are not willing for another person to kill an animal. Vegans, antispecists consider that the life of an animal is worth as much as that of a human being and do not eat animal flesh, nor do they use leather, wool or anything of animal origin.
Behaviours of Harmful Sects
It’s their sensitivity and it’s their business. The problem is that some of these people want to force others to think and do as they do. They act like the proselytic sects, who want to impose their points of view, or like the fundamentalist Muslims, the politicians who are conscious of right-thinking: they devote themselves to moaning* those who do not think like them.
* Staircase on the side of the Capitol on which the Romans exposed the corpses of the tortured before dragging them to the Tiber.
From now on, it is forbidden to think what one wants to think and, even more, to express it: censorship reigns over places of expression, television, radio, the press and social networks. If you do not accept the dominant discourse, you are fascist and do not deserve to be considered. You are less than an animal.
Kill an Animal
However, killing an animal is a natural and good thing for the animal you kill and feed on, using fur and leather. How can I say that? Am I a person living spirituality or a nasty heartless killer?
I know what the anti-specialists, who are often haters, and the sensitive souls who love deer, will say about me and I can’t do anything to change that and it doesn’t affect me any more than that: I don’t care what they think. I don’t need them to know what’s right and what’s wrong.
To understand what I have just told you, you must know Eastern thought, what samsara is. According to ancient spirituality, originally from India, the soul is drawn into an infinite cycle of birth and death. This cycle ceases when the soul has realized the true dharma, taught by Buddha Gautama, Sakyas* and others before and after him, such as Lao-tse, Patanjali, Krishna, Guru Nanak, etc.
* Sakyas: a family of Aryas from the North Indies, of whom Sri Gautama was a prince.
The Cycle of Incarnations
The cycle of a soul begins with incarnation in a rudimentary life form, like a single-celled organism. Then this soul passes from incarnations to more and more advanced incarnations, moss, plant, bush to tree, tree to insect, insect to amphibian, amphibian to bird, bird to small mammals, then to higher mammals, to hominids, to end by being-human.
Once the soul has incarnated as a human being, when it dies, it reincarnates itself as a human being, from life to life, improving its consciousness until it reaches Realization, then, at its death, Liberation, basing itself, in all conscience, in the bliss of Unity, that Lao-Tzu called the “Dao” and Jesus the “Kingdom”. Others say: «satçitananda» or perfect awareness of bliss.
The incarnation always goes from the most primitive to the most elaborate and never goes back, like a «ratchet effect». In other words, a human cannot reincarnate as a bird or a cat. He can only reincarnate as a human, more and more spiritually evolved.
We recognize the newly incarnated souls as humans: these people are very instinctive, very sensual and are not interested in spirituality, but only in living and enjoying their senses and pleasures.
Older souls are more inclined to the subtle and seek the truth. There is no value judgment in what I have just written: a soul is a soul, none is worth more than another. This is the natural walk of samsara and everyone goes through it. The ancient souls were, before they were ancient, newly incarnated souls in Man and the young human souls will become ancient souls.
Existence of the Soul
When an animal kills another animal, to feed or defend itself, or to win the females, when a human being kills an animal, only the body is killed; the eternal soul does not die and reincarnates. You can’t kill a soul. The dead body is just a body. By ending his days, the animal killed by a human being, accelerates considerably the evolution of his soul. It is in this that being killed and used by a human being is beneficial for the soul of the animal in question, fish, rabbit or cow.
To not understand this is to deny the existence of the soul and confine the being to its mere appearance of flesh. It is like considering oneself solely in terms of gender, sex, skin colour, ideology. It is to ignore the soul: a soul has no sex or gender. What proceeds from God, or from the Dao, is simple.
What proceeds from evil is complicated. In your opinion, gender theory falls into what category? Proponents of complication describe a simple explanation as simplistic. That is the nature of confusion.
Rights and Duties
As for killing a human person, it’s the same as killing an animal: a human being has an immortal soul and no one can kill a soul. That said, it is not that we can interrupt the existence of a person without serious reason, as to defend himself, a loved one, an innocent victim or to assume his duty in case of war. This is what is said in The Path angas.
In a very spiritual book, the Bhagavad-Gita, Krishna encourages Arjuna to wage war against people in his family, people he loves, because it is war and he is a warrior in the service of his leaders and his country. Krishna tells him that no one can kill a soul and that he must do his duty.
“He who does not fulfill his duty certainly lives in error, for he who indulges in the pleasures of the senses alone exists in vain” (Bhagavad-Gita, from verse 3:17).
"We must never give up our duties. Man who, under the influence of illusion, renounces it, is said to be driven by ignorance." (Bhagavad-Gita, verse 18.7)
As a warrior, he must wage war when it is declared, without question, for the soul being immortal, that of the enemies, which he will be called to kill, reincarnate and continue his evolution, on the way to the Liberation of the chains of samsara.
More and more Westerners are becoming de-spiritualized and only love their emotions, good feelings, their concepts, their freedom, their illusory and their rights, forgetting their duties, simple common sense and reality.
Biology has become cheesy to talk about gender and gender identity. Wokes do not accept the freedom of those who do not think like them. They have to bend to their concepts. Existentialism has twisted reality so that only “what we want to do with it” counts. However, reality remains reality and the discourses of the wokes will not change anything, simply, they live outside reality, in a mental fantasy.
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