English below. Pour un chercheur, qu’est-ce qui peut l’aider à savoir si une chose est bonne ou mauvaise ? Le bon sens, le sens moral, les lois et les réglementations. Mis-à-part ça ? Rien. Il doit s'en remettre à la Grâce.
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Le blog où se trouvent les satsang est ici
1. Il y a un mot souvent utilisé dans le « milieu #spirituel », ce mot est « #chercheur » et il sous-entend : « de vérité ». Oui, le terme générique de chercheur sous-entend toujours de vérité. Si vous ne cherchez pas la #vérité, vous n’êtes pas chercheur.
2. Vous pouvez être un #scientifique, un chercheur d’or, de saveur, un bibliophile aimant les ouvrages anciens de #spiritualité, tout ça est parfaitement bon et légitime. Pour ce qui est du mot chercheur, comme il est utilisé dans les publications ayant trait à la spiritualité, vous devez rechercher la vérité pour qu’il vous décrive.
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3. Si vous ne croyez pas en une vérité fondamentale, alors c’est impossible que vous soyez un chercheur. Quand on est chercheur, ce que l’on cherche, c'est la vérité ; c’est-à-dire ce qui est #vrai pour tous et chacun et pas quelque chose de relatif ou pire, de #faux avec une apparence de vrai.
4. La #peur de se #tromper et d’aller sur une #voie erronée, où l’on perdrait son temps et son énergie vainement, nous rend prudents et nous empêche parfois d’aller sur une voie rencontrée qui nous semble parler de vérité.
5. Je précise une chose : il existe autant de vérités que d’individus. La vérité fondamentale ne s’oppose pas aux vérités individuelles, il ne s’agit pas de la même chose. Ces mots sont homonymes, pas synonymes.
6. Par exemple, on peut dire la vérité sur les colorants alimentaires, mais la vérité fondamentale, on ne peut pas en parler ni l'écrire. On peut parler à son propos, mais on ne peut pas la dire : la vérité se vit, se voit, s’entend grâce à des #techniques, à une pratique particulière ; #LaVoie.
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Maintenant autre chose :
le vrai et le faux
7. Quand on a eu la #Révélation, que l’on est observant, on a un moyen de savoir si quelque chose est vrai ou faux, bon ou mauvais, ce moyen, c'est une #technique de #méditation, dite du « #SaintNom ».
8. Pour les gens un peu habitués, je tiens à préciser que ce « Saint-Nom » ne peut se dire ni s’écrire, qu’il ne s’agit pas d’un #mantra. On le connaît le jour de la Révélation.
9. L’important est de savoir que grâce à cette technique, il est possible d’avoir une sorte d’étalon, de base référentielle pour distinguer le #vrai du #faux, le #bon du #mauvais. Le jour de la Révélation, tout ça est expliqué en détail.
10. Si vous êtes observant de La Voie et que vous voulez savoir si une activité est bonne ou mauvaise, pour votre quête, il vous suffit de voir si elle vous fait rester dans le Saint-Nom (dans la pratique) ou vous en éloigne.
11. Une activité qui vous empêcherait de rester concentré sur le Saint-Nom serait négative. Si pour vous la pratique du Saint-Nom est essentielle, tout ce qui la favorise est positif, a contrario tout ce qui l’empêche est négatif.
12. Il ne s’agit pas de refuser toute activité qui ne favorise pas la pratique, car il existe des choses qu’il nous faut faire, que ça nous arrange ou pas. Nos #devoirs doivent toujours êtres remplis, nos #obligations assumées.
13. Si la pratique de La Voie (de ses quatre #piliers) est essentielle dans la vie d’un observant, l’assumation de ses obligations sociales, familiales et professionnelles l’est tout autant. On ne doit jamais sacrifier ses devoirs, ses obligations à la pratique. Les devoirs et obligations passent avant tout. Assumer est une des facettes de la pratique spirituelle bien comprise, d’ailleurs, on en parle dans plusieurs livres qui traitent de ce sujet :
14. « Les êtres vivent grâce à la nourriture qui dépend des pluies et les pluies coulent par la Grâce. La conscience de la Grâce vient aux Hommes qui s’acquittent de leurs devoirs avec dédication et par l'Observance des piliers de La Voie. Les devoirs sont donnés par la connaissance et la connaissance vient de la conscience de l'Unité. Cette conscience se trouve dans l'accomplissement de ses devoirs et l'Observance de l'#agya.
15. Celui qui n'accomplit pas son devoir et n'observe pas les prescriptions de La Voie, vit certainement dans l'erreur, car celui qui se complaît dans les seuls plaisirs des sens existe en vain. Cependant, pour l'initié, pratiquant la vraie voie, le devoir assumé n'offre de satisfaction que s'il l'a été dans le service.
16. Celui qui a réalisé son identité spirituelle est désintéressé. Ce que l'on pense de ses actes ne lui importe pas. Ainsi, l'Homme doit agir par sens du devoir, détaché du fruit de ses actes, car par l'action libre d'attachements, il atteint l'Absolu. » (Le chant de l'éveillé 2.4 et #BhagavadGîtâ 3:14 à 19)
17. « Assume tes devoirs, sans chercher à les fuir et sans être lié ni par le succès ni par l’échec, c'est ta liberté. Efforce-toi d'agir en renonçant aux fruits de tes actes et ne crois pas être à l'origine de leurs conséquences. Reste dans l'Unité, hors des fluctuations du mental. Avares sont ceux qui aspirent aux fruits de leurs actes. Le service libère, qui s’y engage, des suites de l’action, bonnes ou mauvaises. » (Le chant de l'éveillé 1.10, Bhagavad-Gîtâ 3:14-15)
18. « Celui qui va sur La Voie, ne génère pas de résidus. Celui qui parle dans l'Unité parle en vérité. Celui qui assume ses devoirs, n'a pas besoin d'y être obligé. Éclairé deux fois : une fois par la lumière de l'Unité, une autre fois par sa propre sagesse, l'éveillé peut enseigner aux autres Hommes. Pour le maître, le disciple est une occasion de servir. Si l'un n'estime pas son maître, si l'autre néglige son disciple, ils se trouvent plongés dans l'aveuglement. L'un a besoin de l'autre, telle est La Voie. » (#LaoTseu, #TaoTeKing, 1:27)
19. Le Saint-Nom (la technique de méditation et/ou le #feeling ressenti) fait, entre autres, office de base référentielle : quand on le ressent, on l’apprécie vraiment. C'est tellement et fondamentalement ce qu’il nous faut et que l’on attendait depuis toujours, que l’on veut le ressentir autant que faire se peut. Quand quelque chose nous éloigne de ce feeling, on l’évite, si possible.
20. Travailler à tailler la vigne favorise davantage la méditation que de travailler dans une salle de marché devant plusieurs moniteurs pleins de chiffres et de graphiques avec, à la main, deux téléphones.
21. Sans parler du poids de la responsabilité qui pèse sur nous. C’est peut-être pour cela qu’il a été dit : « Il sera plus facile à une corde de passer par le chas d’une aiguille qu’à un riche d’entrer au royaume des cieux. » (#Matthieu extrait de 19:24)
22. Parfois, nous avons une existence compliquée et la pratique a du mal à trouver sa place. Quand on entre sur La Voie, on est motivé par quelque chose de si fort que l’on est prêt à simplifier son existence. Un adolescent, un très jeune adulte, sort chaque vendredi et samedi soir. Il va danser en boite de nuit, souvent consomme de l’alcool en excès et parfois d’autres produits #psychotropes moins légaux, mais souvent plus « transcendantaux ».
23. Voyez-vous beaucoup de personnes mariées agissant ainsi ? Non, elles se « rangent » et leurs vies se simplifient. Bien sûr qu'elles regrettent leurs sorties et leurs excès. Faire un choix, c'est toujours abandonner quelque chose pour autre chose. C’est la maturité. Pour La Voie c’est la même chose.
24. Elle ne devient pas la seule « chose » qui compte dans notre vie, mais elle compte beaucoup. La famille, notre conjoint, nos enfants, le travail, l’implication dans des activités conviviales, communautaires et/ou sociales et humanitaires ont une importance non négligeable. Mais, l'observant évitera, autant que cela sera possible, sans négliger ses obligations, toute activité mauvaise, du point de vue de la pratique.
25. Mais, pour un chercheur, qu’est-ce qui peut l’aider à savoir si une chose est bonne ou mauvaise ? Le bon sens, le sens moral, les lois et les réglementations. À part ces aides précieuses ? Rien. Il doit s’en remettre à la Grâce de L’Un qui ne manque jamais aux chercheurs sincères qui vont sur la route avec un réel désir de vérité.
26. Le #satsang* (qui est parole de vérité) doit toucher l’#âme via les oreilles. Si le satsang fait vibrer, en vous, une corde qui fait une belle musique, allez-y : faites confiance.
* Le satsang fait partie de la pratique de La Voie, avec la #méditation formelle et active. Il s’agit de discours improvisés sous l’inspiration du saint-Nom. Ce mot signifie « compagnie de la vérité » ou des sages.
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e.mail de contact : lavoie.eu@gmail.com
Distinguishing Good From Evil
1. There's a word often used in the #spiritual milieu, that word is "seeker" and it implies: "of truth". Yes, the generic term "seeker" always implies "truth". If you're not looking for #truth, you're not a seeker.
2. You can be a #scientist, a gold seeker, a flavor seeker, a bibliophile fond of ancient works of #spirituality, all perfectly good and legitimate. As for the word seeker, as it is used in publications dealing with spirituality, you must seek the truth for it to describe you.
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3. If you don't believe in a fundamental truth, then it's impossible for you to be a seeker. When you're a seeker, what you're looking for is the truth; that is, what is #true for everyone and not something relative or worse, #false with an appearance of truth.
4. The #fear of #troubling ourselves and going down a #wrong path, where we would waste our time and energy in vain, makes us cautious and prevents us, sometimes, from going down an encountered path that seems to us to speak the truth.
5. Let me make one thing clear: there are as many truths as there are individuals. Fundamental truths are not opposed to individual truths - they're not the same thing. These words are homonyms, not synonyms.
6. For example, you can tell the truth about food coloring, but you can't talk or write about the fundamental truth. You can talk about it, but you can't tell it: the truth is lived, seen and heard thanks to #techniques, a particular practice; #ThePath.
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Now for something else:
true and false
7. When we have had #Revelation, when we are observant, we have a way of knowing whether something is true or false, good or bad, this way is a #technique of #meditation, known as the "#HolyName".
8. For those of you who are a bit used to it, I'd like to make it clear that this "Holy-Name" cannot be said or written, that it's not a #mantra. We know it on the day of Revelation.
9. The important thing is to know that thanks to this technique, it is possible to have a sort of standard, a referential basis for distinguishing the #true from the #fake, the #good from the #bad. On Revelation Day, all this is explained in detail.
10. If you are observant of The Path and want to know whether an activity is good or bad, for your quest, you need only see whether it keeps you in the Holy-Name practice or takes you away from it.
11. Any activity that prevents you from focusing on the Holy-Name is negative. If for you the practice of the Holy Name is essential, anything that favors it is positive, and anything that hinders it is negative.
12. It's not a question of refusing any activity that doesn't encourage practice, because there are things we have to do, whether it suits us or not. Our #duties must always be fulfilled, our #obligations assumed.
13. If the practice of The Path (its four #pillars) is essential in the life of an observer, so too is the assumption of social, family and professional obligations. One must never sacrifice one's duties and obligations to one's practice. Duties and obligations come first. Assumption is one of the facets of well-understood spiritual practice, and is discussed in several books on the subject:
14. "Beings live by food, which depends on rain, and rain flows by Grace. Consciousness of Grace comes to Men who discharge their duties with dedication and through Observance of the pillars of The Path. Duties are given by knowledge, and knowledge comes from Unity consciousness. This consciousness is found in the fulfillment of one's duties and the observance of the #agya.
15. He who does not fulfill his duty and observe the prescriptions of The Path is certainly living in error, for he who indulges in the pleasures of the senses alone exists in vain. However, for the initiate, practicing the true path, the duty assumed offers satisfaction only if it has been done in service.
16. Those who have realized their spiritual identity are selfless. What people think of his actions is of no importance to him. Thus, Man must act out of a sense of duty, detached from the fruit of his deeds, for through action free of attachments, he attains the Absolute." (Song of the Awakened 2.4 and #BhagavadGîtâ 3:14 to 19)
17. "Assume your duties, without seeking to escape from them, and without being bound by either success or failure: this is your freedom. Strive to act while renouncing the fruits of your actions, and don't believe you are the cause of their consequences. Remain in Unity, free from the fluctuations of the mind. Avaricious are those who aspire to the fruits of their actions. Service frees those who engage in it from the consequences of action, good or bad." (Song of the Awakened 1.10, #BhagavadGîtâ 3:14-15)
18. "He who goes on The Path generates no residue. He who speaks in Unity speaks in truth. He who assumes his duties, needs no compulsion. Enlightened twice: once by the light of Oneness, once by his own wisdom, the awakened can teach other men. For the master, the disciple is an opportunity to serve. If one does not esteem his master, if the other neglects his disciple, they find themselves plunged into blindness. One needs the other, that is The Path." (#LaoTzu, #TaoTeKing, 1:27)
19. The Holy-Name (the meditation technique and/or the felt #feeling) acts, among other things, as a referential base: when we feel it, we really appreciate it. It's so fundamentally what we need and have always been waiting for, that we want to feel it as much as possible. When something takes us away from that feeling, we avoid it, if at all possible.
20. Working on pruning vines is more conducive to meditation than working in a trading room in front of several monitors full of figures and graphs, with two telephones in your hand.
21. Not to mention the weight of responsibility we bear. Perhaps that's why it was said, "It will be easier for a rope to go through the eye of a needle than for a rich man to enter the kingdom of heaven." (#Matthew 19:24)
22. Sometimes our lives are complicated, and it's hard to find a place for practice. When we enter The Way, we're motivated by something so strong that we're ready to simplify our existence. A teenager, a very young adult, goes out every Friday and Saturday night. He goes dancing in nightclubs, often consumes alcohol in excess and sometimes other less legal, but often more "transcendental" #psychotropic products.
23. Do you see many married people doing this? No, they "settle down" and simplify their lives. Of course they regret their excesses. Making a choice always means giving up something for something else. That's maturity. For The Path, it's the same thing.
24. It doesn't become the only "thing" that counts in our lives, but it counts a lot. The family, our spouse, our children, work, involvement in convivial, community and/or social and humanitarian activities are all important. But the observant person will avoid, as far as possible, without neglecting his or her obligations, any activity that is bad from a practical point of view.
25. But what can help a scientist know whether something is good or bad? Common sense, moral sense, laws and regulations. Apart from these valuable aids? Nothing. He must rely on the Grace of The One, which never fails sincere seekers who set out on the road with a real desire for truth.
26. The #satsang* (which is the word of truth) must touch the #soul via the ears. If the satsang strikes a chord in you that makes beautiful music, go ahead: trust it.
* Satsang is part of the practice of The Path, along with formal and active #meditation. They are improvised discourses inspired by the Holy-Name. The word means "company of truth" or wises.
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