Dire : « Nous sommes notre ego » est très réducteur, comme de dire « nous sommes notre âme » car nous sommes faits de tout ce qui nous compose, depuis le plus visible ; le corps humain, jusqu’au plus subtil ; l’âme. Il n’y a pas que ces deux composantes.
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Dire : « Nous sommes notre ego » est très réducteur, comme de dire « nous sommes notre âme » car nous sommes faits de tout ce qui nous compose, depuis le plus visible ; le corps humain, jusqu’au plus subtil ; l’âme. Il n’y a pas que ces deux composantes. Nous sommes aussi notre mental, avec ses connaissances, ses émotions, ses souvenirs. Je ne parlerai pas des corps astral, éthérique, causal ou des sept autres corps de certaines voies ésotériques.
Toutes ces couches qui nous font
ont leur importance
Chacune de ces couches est importante et n’en considérer qu’une ou deux est très réducteur. Certaines de ces couches n’ont de vie que pour le temps de l’existence. L’âme, a une existence transcendantale, qui dépasse la durée du corps. Il est tentant, quand on a une propension à la spiritualité, de s’identifier à cette dernière et de dire : « Nous sommes l’esprit immortel et tout le reste n’est qu’outil, enveloppe, scaphandre, utilitaire pour notre existence ». Mais si l’éternité a son importance, cette existence est importante aussi, durant moins longtemps sans doute, mais comme la vérité, la vie, l’éternité est dans l’instant présent, chaque instant est essentiel.
Nous sommes aussi ce corps
et ses besoins
Les instincts du corps, le cerveau, avec notre mémoire et nos rêves, nos émotions et notre personnalité, c’est tout cet ensemble, ainsi que notre corps qui font ce que nous sommes, pour ceux avec lesquelles nous interagissons. Notre destinée est dans cette interaction et pour l’assumer nous avons besoin de tout ce qui nous constitue.
La spiritualité
la plus profonde
Pour ce qui concerne la spiritualité, la contemplation et l’extase, il est besoin de mettre de côté les couches les plus superficielles, pendant la méditation profonde, afin de jouir de la conscience la plus haute. Durant ces moments privilégiés seule la béatitude compte et le mental, si utile dans la vie habituelle n’est plus notre ami : « Chaque chose en son temps… » Quand on fait du sport, on privilégie le corps physique et le mental, quand on peint, on privilégie la sensibilité. Pareillement, quand on pratique la méditation profonde (l’un des quatre piliers de la pratique) on privilégie la conscience.
Nous sommes faits
de toutes les “couches”
Chaque couche est importante. Sur La Voie, la pratique nous permet d’aller dans notre entièreté, en assumant chaque facette qui nous compose, des plus « périphériques » aux plus profondes. Cette pratique est faite de quatre piliers.
Il y a le « service » qui permet d’assumer ses devoirs, les obligations de l’existence tout en gardant sa conscience centrée et le mental sous contrôle. Il y a aussi la « méditation » (profonde) qui permet de se recentrer plus fortement, de se réinitialiser afin de connaître le bien-être d’une conscience que l’activité du mental ne perturbe plus, ou qu’elle perturbe moins. Le troisième est le « satsang », paroles inspirées et partagées, qui permet d’être motivé à pratiquer avec assiduité et donne des mots à la compréhension. Le dernier pilier est fait des « angas », qui sont, sur La Voie, les prescriptions visant à favoriser une posture intérieure propre à notre épanouissement.
Cette pratique se nomme
« agya »
Cette pratique, l'agya, n’est possible qu’après avoir reçu la Révélation des techniques de méditation. Il y a ce centre, en vous, où règne une grande paix, et ce, à chaque instant, depuis votre naissance jusqu’au rendez-vous final. On peut s’y retrouver seulement, quand on sait comment faire.
e.mail de contact : lavoie.eu@gmail.com