Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

English below. Le vrai but de la vie n’est pas d’être heureux grâce aux êtres, aux choses et aux événements que propose l’existence matérielle, même si c’est mieux d’être heureux que malheureux. En même temps ça ne veut pas dire qu’il est interdit d’être heureux par l’amour humain ou grâce à une situation satisfaisante !

Texte de sri hans Yoganand ji sur le bonheur, le but de la vie, la spiritualité, La Voie.
Le bonheur n'est pas le but de la vie mais si vous pouvez être heureux, soyez-le !

 

Les mots en bleu sont des liens menant à des textes explicatifs.

Pour les ouvrir, faites un clic droit dessus et choisissez :

« ouvrir le lien dans un nouvel onglet »

 

English below

 

Le blog où se trouvent les satsang est ici

 

 

Le vrai but de la vie n’est pas d’être heureux, même si c’est mieux d’être heureux que malheureux. Je ne veux pas dire qu’il est interdit d’être heureux. La notion du bonheur est souvent celle d’un enfant capricieux et jaloux d’une illusoire liberté et d’un accomplissement familiale, social et financier qui, s’ils sont gratifiants, ne sont pas pour autant le but de la vie.

 

Me fiant aux enseignements de La Voie, je vous conseille de vous occuper en premier du vrai but de la vie. Vous pouvez, en même temps, viser d’autres objectifs, comme vivre à deux, avoir des enfants, une maison, etc.

 

S’occuper du bonheur venu de la « sphère » spirituelle n’est pas incompatible avec tendre vers le bonheur « matériel » et sentimental.

 

Pour simplifier à l’extrême, je veux vous dire que le vrai but de la vie est de remettre à la bonne « place » votre conscience ou esprit, c’est-à-dire de vous identifier au vrai « soi ». En vérité, ce n’est pas le but, pas encore, mais c’est déjà le moyen de l’atteindre.

 

Une fois que votre esprit ne se prendra plus pour le mental, la personnalité, le corps, vos opinions, votre histoire, vous pourrez vivre votre existence comme il a été prévu que vous la viviez, en toute conscience. Le but final étant la Libération, mais c’est une autre histoire et quelle histoire !

 

Le postulat de Dieu

 

Si vous acceptez le postulat que Dieu existe et qu’il ne peut pas faire plus que ce qu’il fait, alors, si vous n'êtes pas heureux, c’est que ce doit être à cause de vous. Si le mot Dieu est trop mal connoté dans votre esprit, vous pouvez lui donner un autre nom.

 

Dieu, le Seigneur, le Créateur, le Tao, L’Un, L’Unité n’a pas de nom en vérité. Son « Saint-Nom », ou « Verbe » (ou « vertu du Tao ») n’est pas un nom, ni un verbe, mais sa force en action, son énergie créatrice. Dieu se donne à cent pour cent tout le temps.

 

Que la majorité des Hommes ne connaissent pas la paix à cause des guerres et de la misère, c’est un fait, mais quand vous ne manquez pas du nécessaire à la satisfaction de vos besoins fondamentaux et que malgré ça, vous ne connaissez pas la satisfaction, la paix, c'est qu’en vous quelque chose cloche.

 

Que cela signifie-t-il ? Ça signifie qu’il vous appartient de changer quelque chose, dans votre existence pour remédier à cette insatisfaction, à ce mal-être. Peut-être aussi vous faut-il chercher ailleurs que là où vous avez déjà cherché, jusqu’à présent, le bonheur, si vous ne l’avez pas trouvé.

 

« Une vie sans conscience est un jour sans lumière. » (Bhaktimàrga 86) Mais d’abord je veux vous poser cette question : « être pleinement satisfait tout le temps, est-ce possible ? » Pour ma part, je ne crois pas, non.

 

Je ne crois pas qu’un jour, nous mangions et nous n’ayons plus jamais faim ; qu’après une nuit de sommeil, nous puissions ne plus dormir. Je ne crois pas non plus qu’il soit possible de ne pas avoir à se réchauffer quand il fait froid. Je ne crois pas que l’Homme soit parfaitement gentil, altruiste, patient ni tolérant.

 

L’Homme n’est pas parfait, sa satisfaction ne peut pas l’être et chercher la satisfaction parfaite est une fausse piste. Je connais la satisfaction parfaite, mais je parle d’une satisfaction non seulement parfaite, mais qui dure tout le temps.

 

Le concept de perfection

 

La notion de perfection n’est-elle pas entachée de concepts imparfaits ? Ce que je connais de plus parfait, dans la dimension matérielle, phénoménale, c’est la nature et pourtant la nature n’est pas faite que de gentils vents, il y a aussi des tempêtes destructrices, meurtrières.

 

La nature n’est pas faite seulement de lagons tranquilles. Il y a des tsunamis aussi. Il y a des volcans, des tremblements de terre, des prédateurs et des proies, des sécheresses et des inondations et la maladie. Alors courir après la perfection de nos concepts, est-ce bien raisonnable ?

 

La perfection existe, en vérité, mais elle n’est pas ce que vous croyez. Nos pauvres cerveaux ne peuvent l’envisager. Quand une personne fabuleuse, généreuse, utile et aimée décède accidentellement, vous pouvez trouver ça triste, injuste et imparfait, mais pour la perfection, la mort est parfaite ; elle n’est ni une fin, ni triste, ni injuste.

 

Juger de ce qui est bien ou de ce qui est mal, de ce qui est parfait, de ce qui ne l’est pas, avec un logiciel si imparfait que notre mental et des connaissances si limitées confine à la folie.

 

La perfection n’est pas de notre compétence, elle ne se plie pas à nos désirs ni à nos concepts. La perfection dont nous rêvons, à l’aune de nos critères, n’est pas de notre monde ni de votre vivant. Je parle encore d’une perfection qui dure toujours.

 

Vous aurez toujours faim, il faudra toujours vous nourrir et selon l’époque et votre milieu, vous aurez toujours plus ou moins de difficultés à vous nourrir. C’est pareil pour vous loger, vous habiller, assurer votre sécurité, être en bonne santé. Vous ne serez jamais parfaitement, tout le temps en bonne santé. Personne n’est jamais mort en bonne santé.

 

Même le bonheur est superficiel

 

Ceci dit, cette imperfection inhérente à la nature humaine n’est pas incompatible avec la possibilité de toucher à une part de bonheur, à une part de douceur, de paix et de perfection. Nous avons tous, en nous, cette possibilité.

 

Quand vous êtes conscient, vous touchez la perfection, mais dans les limites de vos capacités  « fonctionnelles ». Quand on connaît cette paix intérieure, quand on la fréquente assidûment, même le bonheur semble superficiel.

 

Quand on est dans la vacuité, dans la béatitude toutes les questions s’éteignent, tous les concepts disparaissent et celui à propos du bonheur avec eux, car un concept n’est qu’un concept, même beau, juste, pertinent et gentil. Une plante est une plante, ortie, ronce ou salade.

 

Certains qui connaissent « mon » enseignement savent ce que je pense du bonheur : je le tiens pour un caprice d’occidental déjà heureux, mais qui ne s’en rend pas compte. Vivez un mois la vie de la majorité de gens du monde, dans les pays moins chanceux que les nôtres, où les enfants n’ont pas d’enfance et les miséreux pas d’aide, alors vous comprendrez ce que je veux dire.

 

Ce que je vous propose n’est pas le bonheur, mais la conscience et l’accomplissement du propos de votre vie. Ce qui apporte le bonheur, mais une autre sorte de bonheur : un bonheur spirituel, la béatitude, la vraie satisfaction.

 

Le bonheur n’est pas interdit !

Si vous le pouvez,

soyez heureux !

 

Il y a une tâche qui vous est dévolue, une raison à votre naissance, quelque chose de précis à faire. Tous les êtres humains ont cette même tâche à faire, tous et cette tâche n’est pas d’être heureux… Même si la grande majorité des êtres humains est trop occupée à simplement survivre.

 

En vérité, le temps n’a aucune espèce d’importance pour l’éternité, si pour vous, il est essentiel et angoissant. Ensuite, le destin est différent pour chacun. Vous ne vivez pas en vous nourrissant de la manne ou du prànà, seul au fond d’un ermitage.

 

Toute société collective doit être organisée et chaque membre de cette collectivité se doit de respecter cette organisation et ses lois autant que faire se peut. Mais, ces tâches fonctionnelles, « domestiques » que votre humanité vous impose ne sont pas la raison de votre vie.

 

De vous loger, de vous nourrir, de vous reproduire n’est pas votre but. Le but est de revenir à la béatitude originelle avec les yeux ouverts, de revenir à la maison en toute conscience, comme le fils prodigue dont la Bible nous raconte les aventures.

 

Ce qui est de votre ressort

 

Que vous appartient-il de faire pour accomplir cette raison de vivre ? Il est salutaire de changer votre regard et pour ça, d’ôter les voiles qui sont devant vos yeux. Ainsi, vous verrez les choses, les êtres et les événements tels qu’ils sont. C’est déjà un début. Ensuite, faire le silence dans votre esprit. Ainsi vous entendrez le son du silence, la musique de l’âme.

 

Quelles sont ces choses qui vous voilent le regard ? Qu’est-ce qui vous rend sourd au silence ? Vos pensées font ça. Par exemple, quand vous méditez, des pensées, des émotions peuvent vous gêner. Elles passent sur le ciel de vos paupières closes et si vous les suivez des yeux, si vous les arrêtez en leur prêtant du crédit, de l’attention, vous n’entrez pas en méditation profonde.

 

Si vous ne pouvez pas arrêter les pensées, et qui le peut ? Vous pouvez ne pas les suivre du regard. Il y a des techniques pour ça !

 

Ne regardez pas les nuages passer

 

Je ne peux pas expliquer ces techniques, sans préparation. Faites en sorte de réduire l’influence de vos pensées sur votre regard en commençant par ne plus leur faire systématiquement confiance. Dans votre vie de tous les jours.

 

Durant votre travail, vous réfléchissez, vous vous servez de l’intelligence et de ses pensées, comme l’outil qu’ils sont. Réfléchissez pour assumer vos obligations, mais pas pour trouver le bonheur, la vérité.

 

N’appréciez pas votre existence par la pensée ! La vie n’est pas la pensée, mais le fait de respirer, de boire, de voir, d’entendre, etc. La vie est organique et contemplative. Réfléchir à propos du bonheur, n’apporte pas le bonheur.

 

Il est nécessaire de ne pas vous laisser aveugler et de vous taire pour apprécier le silence. C’est dans ce silence que pousse la vraie compréhension. Il y a une réponse inaudible pour ceux qui font trop de bruit.

 

« Ayant atteint l'Unité du Tout, je me laisse porter par le silence. Tous les êtres sont venus en même temps. Finissant par le commencement, après avoir atteint son but, chacun d'eux revient au Tout, leur demeure véritable. C'est la loi éternelle, celui qui ne veut pas s'y soumettre se perd dans la confusion et la souffrance. Connaître cette loi, c'est avoir été éclairé. Celui qui a cette connaissance est tolérant et juste. Celui qui est juste est grand. Celui-là atteint l'Unité du Tout, au-delà de la mort. » (Lao-Tseu, Tao-Te-King, 1:16)

 

Cette réponse est celle du « Saint-Nom ». Quand vous méditez sur Lui, il vous donne, sans rien dire, cette réponse qui éteint toutes les questions. La réponse est dans la contemplation et pour contempler, il n’est pas nécessaire de réfléchir… c’est même antinomique.

 

Retirez de votre regard les voiles d’illusion qui l’aveuglent en ne leur accordant aucun crédit et en contemplant, chaque fois que possible, la paix du dedans. Il y a des techniques pour ça !

 

Vous croyez à tant de choses qui n’ont pas d’importance pour votre bonheur. Vous croyez qu’elles sont importantes, pourtant elles ne le sont pas, je vous assure : dans le domaine de la paix, rien n’est important hormis la contemplation. Ce qui devrait être essentiel, pour vous, c’est si vous êtes bien ou mal. Tout le reste n’est que blablas et perte d’énergie.

 

Je suis là pour vous donner le moyen d’approfondir votre conscience, si c’est une préoccupation majeure pour vous. Il suffit de le demander. Il y a un mail de contact où vous pouvez poser toutes les questions qui vous viennent et ça ne vous engage à rien.

 

Les boutons de partage sont à la suite de la traduction. Si ce texte vous a apporté quelque chose, partagez sur les réseaux sociaux pour que d'autres puissent le lire.

 

 

e.mail de contact : lavoie.eu@gmail.com

Le blog des satsang

Avec un smartphone ou certaines tablettes, ce blog est moins confortable.

Si vous le pouvez, visitez-le à partir d'un ordinateur.

Happiness Is Not the Goal

 

The real purpose of life is not to be happy, even if it is better to be happy than unhappy. I’m not saying it’s forbidden to be happy. The notion of happiness is often that of a capricious and jealous child of an illusory freedom and of a family, social and financial accomplishment which, while rewarding, are not the goal of life.

Relying on the teachings of The Path, I advise you to take care first of the true purpose of life. At the same time, you can pursue other goals, such as living together, having children, a home, etc.

Dealing with happiness from the spiritual “sphere” is not incompatible with striving for “material” and sentimental happiness.

To simplify things to the extreme, I want to tell you that the real purpose of life is to put your conscience or spirit in the right place, that is, to identify with the true "self". In truth, this is not the goal, not yet, but it is already the means to achieve it.

Once your spirit is no longer mistaken for the mind, the personality, the body, your opinions, your history, you will be able to live your existence as it has been planned for you to live it, in full consciousness. The final goal being the Liberation, but it’s another story and what a story!


The Postulate of God

If you accept the premise that God exists and cannot do more than He does, then if you are not happy, it must be because of you. If the word God is too bad connoted in your mind, you can give it another name.

God, the Lord, the Creator, the Dao, the One, Unity has no name in truth. His "Holy-Name", or «Word» (or «virtue of the Dao») is not a name, nor a verb, but his force in action, his creative energy. God gives himself a hundred percent all the time.

That the majority of men do not know peace because of wars and misery, it is a fact, but when you do not lack the necessary for the satisfaction of your basic needs and that despite that, you do not know the satisfaction, Peace is that in you something is wrong.

What does that mean? It means that it is up to you to change something in your existence to remedy this dissatisfaction, this ill-being. Perhaps you also have to look elsewhere than where you have already sought, so far, happiness, if you have not found it.

“A life without consciousness is a day without light” (Bhaktimàrga 86). But first I want to ask you this question: "Is it possible to be fully satisfied all the time?" I don’t think so.

I do not believe that one day we eat and never feel hungry again; that after a night’s sleep we may not sleep. I also don’t think it’s possible not to have to warm up when it’s cold. I do not believe that man is perfectly kind, altruistic, patient or tolerant.

Man is not perfect, his satisfaction cannot be and seeking the perfect satisfaction is a false trail. I know the perfect satisfaction, but I am talking about a satisfaction that is not only perfect, but that lasts all the time.


The Concept of Perfection

Isn’t the notion of perfection marred by imperfect concepts? The most perfect thing I know in the material, phenomenal dimension is nature and yet nature is not only made of gentle winds, there are also destructive, deadly storms.

Nature is not just made of quiet lagoons. There are tsunamis too. There are volcanoes, earthquakes, predators and prey, droughts and floods, and disease. So running after the perfection of our concepts, is that reasonable?

Perfection exists, in truth, but it is not what you think it is. Our poor brains cannot contemplate it. When a fabulous, generous, useful and loved person dies accidentally, you may find it sad, unjust and imperfect, but for perfection death is perfect; it is neither an end, nor sad, nor unjust.

To judge what is right or wrong, what is perfect, what is not, with software so imperfect that our mind and our limited knowledge confine to madness.

Perfection is not our competence, it does not bend to our desires and concepts. The perfection we dream of, by our standards, is not of our world or of your lifetime. I’m still talking about a perfection that lasts forever.

You will always be hungry, you will always have to feed yourself and depending on the time and your environment, you will always have more or less difficulty to feed yourself. It’s the same for lodging, dressing, keeping you safe, being healthy. You will never be perfectly healthy all the time. No one has ever died healthy.


Even Happiness is Superficial

That said, this imperfection inherent in human nature is not incompatible with the possibility of touching a part of happiness, a part of sweetness, peace and perfection. We all have that opportunity.

When you are conscious, you touch perfection, but within the limits of your “functional” abilities. When one knows this inner peace, when one frequents it assiduously, even happiness seems superficial.

When one is in emptiness, in bliss all questions are extinguished, all concepts disappear and the one about happiness with them, because a concept is only a concept, even beautiful, fair, relevant and kind. A plant is a plant, nettle, blackberry or salad.

Some who know "my" teaching know what I think of happiness: I hold it for a whim of Westerner already happy, but who does not realize it. Live for a month the lives of the majority of people in the world, in countries less fortunate than ours, where children have no childhood and poor people have no help, then you will understand what I mean.

What I propose to you is not happiness, but the consciousness and fulfillment of the purpose of your life. This brings happiness, but another kind of happiness: spiritual happiness, bliss, true satisfaction.


Happiness Is Not Forbidden! If You Can, Be Happy!

There is a task for you, a reason for your birth, something specific to do. All human beings have this same task, all of them, and this task is not to be happy… Even though the vast majority of human beings are too busy just surviving.

In truth, time has no kind of importance for eternity, if for you it is essential and distressing. Then fate is different for everyone. You do not live on manna or pràna, alone in a hermitage.

Every collective society must be organized and every member of that community must respect that organization and its laws as much as possible. But these functional, “domestic” tasks that your humanity imposes on you are not the reason for your life.

Housing you, feeding you, breeding you is not your goal. The goal is to return to the original bliss with open eyes, to return home in full consciousness, like the prodigal son whose adventures the Bible tells us.

 

What Is Your Responsibility

 

What does it behoove you to do to fulfill this reason for living? It is salutary to change your look and for that, to remove the veils that are before your eyes. So you will see things, beings and events as they are. This is already a beginning. Then do silence in your mind. So you will hear the sound of silence, the music of the soul.


What are these things that are blinding you? What makes you deaf to silence? Your thoughts do that. For example, when you meditate, thoughts and emotions can get in The Path. They pass over the sky with your closed eyelids and if you follow them with your eyes, if you stop them by lending them credit, you do not enter into deep meditation.


If you can’t stop the thoughts, and who can? You can’t follow them with your eyes. There are techniques for that!


Don’t Watch the Clouds Pass


I can’t explain these techniques without preparation. Make sure to reduce the influence of your thoughts on your eyes by starting by not trusting them systematically. In your everyday life.


In your work you think, you use intelligence and its thoughts as the tool they are. Think to assume your obligations, but not to find happiness, truth.


Do not appreciate your existence by thought! Life is not thought, but breathing, drinking, seeing, hearing, etc. Life is organic and contemplative. Thinking about happiness doesn’t bring happiness.


It is necessary not to be blinded and to be silent in order to appreciate silence. It is in this silence that true understanding grows. There is an inaudible answer for those who make too much noise.


Having attained the Unity of the Whole, I let myself be carried by silence. All beings came at the same time. Ending in the beginning, after reaching their goal, each of them returns to the Whole, their true home. It is the eternal law, the one who does not want to submit to it is lost in confusion and suffering. To know this law is to have been enlightened. He who has this knowledge is tolerant and just. He who is just is great. He attains the Unity of the Whole, beyond death." (Lao-Tzu, Dao-De-Jing, 1:16)


This answer is that of the "Holy-Name." When you meditate on him, he gives you, without saying anything, that answer which extinguishes all questions. The answer is in contemplation and in order to contemplate, it is not necessary to reflect… it is even antinomic.


Remove from your gaze the veils of illusion that blind him by granting them no credit and contemplating, whenever possible, peace from within. There are techniques for that!


You believe in so many things that don’t matter to your happiness. You believe that they are important yet they are not, I assure you: in the field of peace, nothing is important except contemplation. What should be essential for you is whether you are good or bad. Everything else is just talk and waste of energy.


I’m here to give you the means to deepen your consciousness, if that’s a major concern for you. Just ask. There is a contact email where you can ask all the questions that come to you and it does not commit you to anything.

 

If you liked this text, don’t forget to share on the networks

 

 

Contact email: lavoie.eu@gmail.com

The satsang blog

With a smartphone or some tablets, this blog is less comfortable.

If you can, visit it from a computer.

Tag(s) : #bonheur, #but, #vie, #spiritualité, #méditation, #yoga, #LaVoie, #spirituality, #meditate, #HansYoganand, #ThePath, #Happiness

Partager cet article

Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
"s0RfqIbgj5o3BceMlkFfuJbs-HedVll0E_